Régionales françaisesLa France confirme son vote sanction
La gauche a infligé une sévère défaite à la droite dimanche au second tour des élections régionales françaises. Elle n'est toutefois pas parvenue à lui ravir son bastion historique, l'Alsace.
La gauche - et ses alliés écologistes - continuera donc à diriger l'immense majorité des régions françaises. Elle a remporté au niveau national 53,87% des suffrages, contre 35% au parti présidentiel UMP et ses alliés, selon des résultats provisoires du ministère de l'Intérieur.
L'Alsace est désormais la seule des 22 régions métropolitaines aux mains de la droite, sa deuxième citadelle, la Corse, ayant basculé à gauche, selon des résultats partiels. La droite a toutefois évité un désastre total en parvenant à emporter La Réunion (océan Indien).
Quant aux deux autres régions frontalières avec la Suisse, Franche-Comté et Rhône-Alpes, elles sont restées dans le giron de la gauche.
Le Front national confirme son retour à l'avant-scène en maintenant, voire amplifiant son score dans les douze régions où il était présent. Jean-Marie Le Pen et sa fille Marine améliorent leur score du premier tour, respectivement en Provence-Alpes-Côte d'Azur (22,85% selon des résultats partiels), et dans le Nord-Pas-de-Calais (22,7%).
Malgré un léger tassement par rapport au premier tour, où elle s'était élevée à 53,67%, l'abstention a encore concerné dimanche près d'un électeur sur deux, un niveau record pour des élections régionales. Le taux d'abstention s'élevait à 48,5%, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur portant sur 97,12% des bulletins dépouillés.
Pour retrouver participation plus basse à ce type d'élections, il faut remonter aux régionales de 1998, encore à un seul tour. Seuls 42,3% des inscrits s'étaient alors rendus aux urnes.
Le taux d'abstention record enregistré dimanche s'inscrit dans une tendance à la hausse confirmée en juin dernier par les élections européennes, qui avaient été boudées par 59,37% des inscrits, après 57,21% en 2004, 53,24% en 1999 et 47,29% en 1994. Le record absolu en la matière reste détenu par le référendum sur le quinquennat en 2000, où pas moins de 69,8% des électeurs ne s'étaient pas déplacés.
Sarkozy veut faire le point
Peu après l'annonce des premiers résultats, le secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand a reconnu la défaite: «Objectivement, ce soir, la gauche a remporté les élections régionales. Il faut le reconnaître».
Nicolas Sarkozy recevra lundi à 09h00 le premier ministre François Fillon pour «faire le point sur le message des Français», a indiqué l'Elysée. M. Fillon a déclaré qu'il allait évoquer avec le président sa «part de responsabilité». Mais il ne va pas présenter sa démission, même pour la forme, a-t-on dit à l'UMP.
François Fillon a reconnu le «succès des listes de gauche»: «Nous n'avons pas su convaincre. Le rapport de force issus des régionales de 2004 reste globalement inchangé et cela constitue une déception pour la majorité».
Souvent évoqué ces derniers jours, un remaniement ministériel est désormais plus que probable.
Relance des socialistes
Ces élections régionales se tiennent à mi-parcours du mandat de Nicolas Sarkozy, en chute libre dans les sondages ces derniers mois. En offrant une nette victoire à la gauche, elles relancent les socialistes et leur dirigeante Martine Aubry, qui devient dès ce dimanche présidentiable à gauche.
Une gauche qui s'est abstenue de tout triomphalisme, malgré l'un de ses plus hauts scores de la Ve République. La cheffe du PS Martine Aubry a pressé Nicolas Sarkozy d'entendre le signal en changeant «profondément» de politique.
«Nous recevons cette victoire avec responsabilité», a-t-elle déclaré. «C'est un encouragement et une exigence, un espoir d'une France plus juste», a-t-elle dit, appelant à la consolidation du parternariat avec Europe Ecologie et le Front de gauche.
Autre figure du PS, Ségolène Royal, candidate malheureuse à la présidentielle de 2007 contre Nicolas Sarkozy, a confirmé son assise régionale avec un score de plus de 60%, lui permettant d'espérer peser au niveau national.
Une boule de neige en mouvement
Fort de leur bon score, les élus écologistes ont souhaité dimanche soir se rassembler pour former une grande force politique en vue de l'élection présidentielle de 2012. «Cet appel du 21 mars, c'est un appel à changer», a déclaré Daniel Cohn-Bendit, l'un des fondateurs d'Europe Ecologie et député européen.
Les Français élisent leurs assemblées régionales selon un mode de scrutin compliqué. Il s'agit d'un scrutin de listes à la proportionnelle, offrant une prime en sièges au vainqueur et permettant des fusions de listes entre les deux tours.
(ap/afp)
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP
Voici un zoom sur plusieurs régions particulièrement en vue dimanche soir à l'issue du second tour des régionales, sur la base de résultats partiels communiqués par le ministère de l'Intérieur: L'Alsace reste à droite. Cette région, qui était l'un des deux derniers bastions de l'UMP en métropole après la vague rose de 2004, a finalement choisi de reconduire le président sortant du conseil régional Philippe Richert, dont la liste a recueilli 47,80% des voix, contre 35,83% à celle du socialiste Jacques Bigot, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. La liste frontiste de Patrick Binder, dont le maintien risquait de faire le jeu de la gauche, est créditée de 16,37% des suffrages. L'île de Beauté quitte le giron de la droite à la faveur de la seule quadrangulaire du second tour de ces élections régionales. La liste d'union de la gauche conduite par le radical de gauche Paul Giacobbi obtient 37,09%, contre 27,62% à celle de l'UMP Camille de Rocca Serra, président sortant de l'exécutif territorial, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Ces deux listes devancent celles des nationalistes modérés et des indépendantistes, qui s'étaient tous deux maintenues. Fort de ses 40,61% au premier tour, le maire de Cayenne Rodolphe Alexandre, ancien dirigeant du Parti socialiste guyanais passé dans le camp de la majorité présidentielle, pouvait raisonnablement espérer reprendre à la gauche cette région ultramarine. Pour lui faire obstacle, sa rivale, la députée radicale de gauche Christiane Taubira (23,02% au premier tour, devait faire le plein des voix de gauche. Le résultat de cette région située en Amérique du Sud était attendue dans la nuit. La droite emmenée par la ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a beau avoir terminé en tête au premier tour (27,76%), elle n'a rien pu faire le dimanche suivant face à une gauche rassemblée, dont le total des voix dépassait les 50% dès le 14 mars. Selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur, la liste pilotée par le socialiste sortant Jean-Paul Huchon recueille 54,24% des voix, contre 45,76% à celle de la majorité présidentielle, qui se présentait sans réserves de voix à ce second tour. Surprise à l'île de La Réunion, où la liste de l'UMP Didier Robert obtient 45,46% des voix et devance celle du président sortant du conseil régional et candidat de l'Alliance, Paul Vergès, qui ne recueille que 35,55% des suffrages. Le leader historique du Parti communiste réunionnais gouvernait la collectivité depuis 12 ans. Le candidat socialiste Michel Vergoz arrive troisième de cette triangulaire avec quasiment 19% des voix. Bien qu'exclu du PS, qui ne le considère désormais plus comme un «homme de gauche», Georges Frêche reste le patron de la région Languedoc-Roussillon. Le président sortant du conseil régional, qui avait obtenu 34,28% des voix au premier tour sans l'appui de la rue de Solférino, remporte le second avec 53,65% des suffrages, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Face à lui, l'UMP Raymond Couderc est crédité de 26,57% et la candidate frontiste France Jamet de 19,77%. La région reste plus que jamais la chasse gardée de Ségolène Royal, présidente PS sortante, dont la liste, rejointe par Europe Ecologie après le premier tour, réalise le score exceptionnel de 60,03%, contre 39,97% pour la liste de la majorité présidentielle conduite par le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. Le résultat de l'ex-candidate à l'élection présidentielle pourrait se révéler un tremplin pour d'autres échéances. Après ses victoires en 1998 et 2004, le président socialiste sortant Michel Vauzelle réussit la passe de trois: sa liste de gauche obtient en effet 44,31% des voix, contre 32,83% pour celle de l'UMP Thierry Mariani, qui a certainement pâti du bon score du président du Front national Jean-Marie Le Pen, crédité de 22,85% des suffrages pour ce qui pourrait être sa dernière campagne électorale, selon des résultats partiels du ministère de l'Intérieur. AP