AgendaLes sorties cinéma du 14 septembre 2016
Toutes les bandes-annonces des nouveaux films sur les écrans en Suisse romande sont ici.
- par
- Catherine Magnin

«Clash», de Mohamed Diab:
Retrouvez notre critique ici
«Un Juif pour l'exemple», de Jacob Berger:
Retrouvez notre critique ici
«War dogs», de Todd Phillips:
Retrouvez notre critique ici
«Under the shadow», de Babak Anvari:
Il pleut des bombes sur Téhéran, en cette année 1988. Son mari étant parti au front, Shideh (Narges Rashidi) élève seule sa fillette. Laquelle se met à avoir un comportement bizarre. Et si elle était possédée par un djinn, un esprit malveillant? Quel défi pour une mère que son mari n'arrête pas d'accuser d'être incapable d'élever sa fille! Voilà un premier film à l'économie de moyens diablement efficace.
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«The Beatles: Eight days a week», de Ron Howard:
Il n'aura fallu aux quatre de Liverpool que quelques années, de 1962 à 1966, pour devenir culte. Quelques années pour se frotter à l'épuisement des tournées, ce qui les décidera à se consacrer ensuite à la seule composition en studio. Ce sont ces années et ces tournées qu'évoque Ron Howard, dans un doc qui met en évidence à la fois la fraîcheur et la force de l'amitié des Beatles, et l'hystérie qu'ils déclenchèrent. Il n'y a pas que les fans conquis d'avance qui vont adorer.
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«Victoria», de Justine Triet:
Bien empêtrée dans la défense d'un ami cyclothymique (Melvil Poupaud), Victoria (Virginie Efira) engage un jeune homme au pair (Vincent Lacoste), qui finira par la sauver d'une solide dépression... Malgré le pep de son actrice principale, «Victoria» paresse sur une psychologie à deux balles qui ne tire pas parti de quelques bonnes idées. Comme celle qui consiste à interpeller des animaux (des chiens) comme témoins dans un procès...
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«Les démons», de Philippe Lesage:
Comment raconter le désarroi d'un gamin de 10 ans terrifié par le divorce de ses parents, par ses voisins, par le sida? Pour son premier film de fiction, le réalisateur canadien Philippe Lesage a opté pour une approche toute en sensibilité. Cela donne aux «Démons» une part de fantastique qui ne laissera pas les spectateurs indifférents, pour autant qu'ils s'identifient au personnage.
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«Yes No Maybe», de Kaspar Kasics:
Certains, comme la sociologue Eva Illouz et l'écrivain Sven Hillenkamp, pensent que l'amour n'a pas d'avenir. D'autres vivent cet amour au quotidien depuis peu ou longtemps. Leurs témoignages renvoient la question au spectateur: l'amour, stop ou encore?
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