Police genevoise: «Nos relations n'ont pas été tendues»

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Police genevoise«Nos relations n'ont pas été tendues»

La conseillère d'Etat genevoise Isabel Rochat a déclaré samedi dans les colonnes du «Courrier» que tout allait bien entre elle et la cheffe de la police Monica Bonfanti.

«Tout va bien» entre la conseillère d'Etat genevoise et la cheffe de la police Monica Bonfanti.

«Tout va bien» entre la conseillère d'Etat genevoise et la cheffe de la police Monica Bonfanti.

«Contrairement à ce que prétendait une partie de la presse, nos relations n'ont pas été tendues».

La magistrate libérale, ministre de tutelle de la police genevoise, a simplement précisé qu'elle avait souhaité obtenir «des garanties» quant au bon accomplissement des missions qui avaient été confiées à Mme Bonfanti. «C'est maintenant le cas et la question est réglée».

Mme Rochat a admis avoir rencontré des difficultés lors de ses discussions avec les syndicats policiers sur la réforme du mode de rémunération des agents. «Quelques crispations sont apparues au moment d'élaborer le règlement d'application», à propos de l'âge de la retraite et des indemnités. Des «ajustements» ont été faits.

L'élue libérale a par ailleurs confirmé au «Courrier» sa politique volontariste en matière de construction de places de détention. «Rattraper le retard accumulé pendant deux décennies, dont les conséquences sont catastrophiques pour le personnel et les détenus, est une nécessité», a souligné Mme Rochat.

(ats)

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