PolémiqueSarah Fraisou choque la Toile en nourrissant son serpent
La starlette de téléréalité a filmé son reptile en train de manger un rat vivant. Son acte a scandalisé de nombreux internautes.
La vidéo qui fait polémique.
Alors qu’elle est souvent la cible de critiques à cause de ses frasques, Sarah Fraisou vient de s’attirer une nouvelle fois les foudres de la Toile. La raison? La starlette de téléréalité, qui s’est offert un serpent prénommé Jasmine, a donné un rat vivant à son animal afin qu’il puisse se nourrir. Mercredi 5 janvier 2022, elle a ainsi diffusé sur Snapchat une vidéo où l’on voit son reptile sauter sur sa proie pour l’ingurgiter toute crue. Sachant d’avance qu’elle se ferait critiquer pour son acte, l’influenceuse, qui a perdu de nombreux kilos, s’est justifiée: «Je vous vois venir: «Le pauvre, c’est trop violent comme images!» Calmez-vous! C’est un serpent, ça a besoin de se nourrir. C’est la nature! À croire que personne ne regarde «Chasse et pêche». Je préfère prévenir avant que vous commenciez à envoyer vos messages pour rien. Je m’en tape! Faut que ma Jasmine se nourrisse.»
Cependant, ses justifications n’ont convaincu personne. Après avoir vu ses images jugées violentes et inappropriées, de nombreux internautes traumatisés ont fait part de leur colère envers la Française de 29 ans, qui sera bientôt dans une nouvelle émission de téléréalité. Certains veulent même que ses publications soient supprimées des réseaux sociaux. «Signalez tous les snaps de Sarah Fraisou! Faites-le plusieurs fois, on voit son serpent bouffer un rat vivant. Cette meuf doit être en psychiatrie pas sur les réseaux!» s’est insurgé l’un d’eux. «Qu’elle soit supprimée des réseaux une bonne fois pour toutes, c’est juste scandaleux. Ce n’est pas la nature d’enfermer un serpent et de lui faire bouffer des rats», a renchéri un autre. «T’es vraiment écœurante comme fille, un monstre vivant. Comment peux-tu filmer ça? Bien sûr qu’à la télé il y a des émissions comme «Chasse et pêche». C’est dans la nature, mais pas dans son salon», pouvait-on aussi lire.