JusticeUne plainte à 250 millions de dollars contre Brad Pitt
Angelina Jolie, via l’une de ses sociétés, accuse son ex-mari d’avoir voulu prendre le contrôle de leur domaine viticole pour se venger de sa demande de divorce.

Brad Pitt et Angelina Jolie avaient acheté le Château Miraval et son domaine en 2011.
La bataille entre Brad Pitt et Angelina Jolie autour du Château de Miraval et du domaine viticole qui l’entoure n’est pas près de se terminer. Après plusieurs accusations et plaintes du premier contre son ex-épouse, voilà que cette dernière contre-attaque, a appris «Page Six».
Nouvel, une société fondée par l’actrice de 47 ans à travers laquelle elle avait acheté ses parts dans la production de vin, vient de déposer une plainte à 250 millions de dollars contre le comédien. Il y est accusé d’avoir mené une campagne «sournoise» en compagnie d’amis pour prendre le contrôle du domaine afin de se venger de la demande de divorce et de garde des enfants déposée par Angelina et de faire en sorte qu’elle ne touche pas un sou des profits générés par Miraval.
Des conditions déraisonnables
Dans les documents déposés devant une Cour de Los Angeles, il est indiqué que l’ancien couple avait un accord stipulant que tous les projets humanitaires étaient gérés par Madame, tandis que tout ce qui concernait Château Miraval était entre les mains de Monsieur qui en aurait profité pour faire ce que bon lui semblait sans avertir Angelina Jolie, après le divorce. Brad Pitt n’est pas la seule personne visée par la plainte. Les directeurs de Château Miraval ainsi que les partenaires de l’acteur sont également poursuivis par Nouvel.
La mère de six enfants affirme en outre qu’elle avait l’intention de vendre ses parts dans le domaine à son ex-mari, mais que celui-ci avait décidé de conditionner l’achat à une clause de silence visant à empêcher l’actrice de s’exprimer à propos des causes du divorce. «Pitt savait qu’une grande partie de la richesse et des liquidités de Jolie était liée à ses parts et a utilisé ce fait pour essayer de la forcer à accepter des conditions déraisonnables», est-il indiqué dans la plainte à laquelle «Page Six» a eu accès.