
Retour chez lui
Le temps est venu de renvoyer ce réfugié politique chez lui, en fin!.
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01 mars 2011 16:37; Act: 07.03.2011 12:32 Print
Réfugié en Suisse depuis 18 ans, Larbi Guesmi a fait l'apologie des ceintures d'explosifs dans un poème.
En septembre 2010, dans un poème en arabe, Larbi Guesmi, président de l'association Ez-Zeitouna qui défend les droits de l'Homme en Tunisie, légitimait l'utilisation des ceintures d'explosifs.
«Sellez les chevaux, et préparez ce que vous pouvez de matériel, de convictions, puis n'oubliez pas, n'oubliez pas, n'oubliez pas les ceintures sacrées, les ceintures des respectables, la ceinture explosive pour les gens qui nous agressent. Nous allons résister, cela fait partie de notre culte, nous allons résister, soit la victoire, soit la mort», écrivait-il sur le site d'opposition au régime de Ben Ali Alhiwar.net.
Provocation publique au crime ou à la violence
Ces propos, révélés par «24 Heures» le 30 décembre 2010, avaient notamment choqué les Jeunes UDC du Valais romand. Ceux-ci avaient demandé à Pierre Cornu, Procureur général du canton de Neuchâtel, d'ouvrir une instruction pénale contre Larbi Guesmi. Pour eux, les écrits du réfugié politique «sont très clairement constitutifs de provocation publique au crime ou à la violence, infraction réprimée par l'article 259 du Code pénal».
«M. Guesmi a été condamné par ordonnance pénale du 9 février 2011 pour infraction à l'article 259 al. 1 CP («Celui qui aura provoqué publiquement à un crime sera puni d'une peine privative de liberté de trois ans au plus ou d’une peine pécuniaire»)», explique le Ministère public du canton de Neuchâtel. Il est condamné à 4500 francs (90 jours amendes à 50 francs) avec sursis et 300 francs de frais de procédure. Le Ministère précise que Larbi Guesmi a «fait opposition à ladite ordonnance pénale. Le dossier a été transmis au Tribunal de police du Littoral et du Val-de-Travers en date du 24 février 2011».
Contacté par «20 minutes», Larbi Guesmi n'a pas souhaité commenter cette affaire et expliquer pourquoi il a fait opposition à cette décision de justice.
(gco)
Le temps est venu de renvoyer ce réfugié politique chez lui, en fin!.
Faut faire la différence, entre un terroriste qui se fait péter au milieu d'une foule d'innocent, et un martyre qui sacrifie sa vie pour le bien et la liberté en se faisant péter sur un tas de politiques ou autres corrompus.
Et on garde ce genre de personnage à nos frais... Je suis d'accord de participer a son billet de retour, il a rien a faire chez nous avec ses propos.
Propos inacceptable
Un tunisien qui fait opposition à une ordonnance pénale suisse ! et on entre en matière ! notre justice, c'est vraiment n'importe quoi ! De plus, il va être puni certainement de prison avec sursis ... alors ce ne sera pas une punition comme d'habitude ! les propos de cet individu sont tout simplement inacceptables, intolérables et inadmissibles. Ce Monsieur devrait être explusé et si il a la nationalité suisse (ce qui ne m'étonnerait pas), elle doit lui être retirée.
Revoir son statut
régugié politique, cela n'a plus de sens maintenant. Alors qu'il rentre en Tunisie.
Bien dit !
Bien dit !
Révolutionnaire de salon
Pendant que leurs compatriotes sont prêts à mourir pour la liberté, certains petits malins à la langue bien pendue appellent à la barbarie de loin en restant bien à l'abri. Cet homme-là a tout compris à la politique. Il vaut mieux laisser les autres prendre tous les risques pour tirer les marrons du feu ensuite. C'est peut-être lui le prochain Ben Ali.
La liberté d'expression a ses limites
Essayer de convaincre d'autres personnes de commettre des crimes (en l'occurrence des crimes particulièrement ignobles puisqu'il s'agit de meurtres d'innocents dont le seul tort est d'être au mauvais endroit au mauvais moment) est aussi un crime.
Racines
Le brave homme n'envisage pas de partir, il ne veut pas être déraciné deux fois, et puis on est si bien en Suisse