

Bravo
Bravo faut continuer il y en a encore beaucoup à expulser.
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17 avril 2019 11:40; Act: 17.04.2019 14:25 Print
Le Service de renseignement de la Confédération (SRC) et Fedpol ont agi très vite pour expulser la jeune Française. (Photo: AFP)
Le Tribunal administratif fédéral rejette le recours d'une jeune Française expulsée de Suisse au printemps 2017 pour radicalisation. Les informations dont disposait Fedpol étaient suffisantes pour prendre une telle décision. L'arrêt n'est pas définitif.
VideoEn août 2016, l'intéressée alors âgée de 18 ans était entrée en Suisse et avait demandé une autorisation de séjour UE/AELE. Sa requête avait été rejetée par l'Office fédéral de la police (Fedpol) qui se basait sur des renseignements fournis par le Service de renseignement de la Confédération (SRC).
Selon ce dernier, la jeune femme s'était mariée dans une mosquée avec un Suisse connu pour ses contacts avec des personnes soutenant des organisations terroristes. Des personnes qui faisaient aussi l'objet d'une enquête pour appartenance à une organisation criminelle.
En outre, le couple s'était rendu en juillet 2016 en Turquie, d'où il était revenu quelques jours plus tard «dans des conditions obscures». Un an plus tôt, son compagnon s'était rendu à Raqqa, la «capitale» de l'Etat islamique en Syrie.
Arrestation musclée
Soulignant que la jeune Française avait accès à un réseau d'extrémistes islamistes par l'intermédiaire de son compagnon et que l'on pouvait craindre un abus du territoire suisse à des fins de propagande, voire d'attentats, Fedpol a ordonné l'expulsion en mars 2017. La mesure était assortie d'une interdiction d'entrée pour 10 ans.
Dans son recours auprès du Tribunal administratif fédéral, la jeune femme a argumenté qu'une bonne partie des informations du SRC étaient fausses. Qu'elle s'était séparée de son compagnon, qu'elle était enceinte et qu'elle s'était distancée de l'extrémisme islamique. Elle dénonçait aussi les conditions de son arrestation, par des policiers armés et cagoulés sur une terrasse publique.
Le Tribunal administratif fédéral a rejeté tous ces arguments dans un arrêt publié mercredi. Il estime que les informations dont disposait Fedpol étaient suffisantes pour se forger une opinion. Vu le risque d'un passage à l'acte au moment de la notification de la décision, il s'imposait de procéder à l'arrestation et à l'expulsion immédiates de la jeune femme.
Les juges de Saint-Gall soulignent que la déradicalisation invoquée est un processus de longue haleine, qui ne peut pas être apprécié après quelques mois. Enfin, ils rappellent que la jeune Française pourra demander un réexamen 5 ans après le prononcé de la décision par Fedpol, soit dès mars 2022.
L'arrêt du Tribunal administratif fédéral n'est pas définitif. Il peut être attaqué dans les 30 jours devant le Tribunal fédéral. (arrêt F-1954/2017 du 8 avril 2019)
(nxp/ats)
Bravo faut continuer il y en a encore beaucoup à expulser.
Bonne décision. Trop facile de semer et proner LA TERREUR et le meurtre et après de dire, je suis devenue bienveillante. Il fallait réfléchir avant, tout se paie.
Non mais je rêve!!! Dépenser autant d'argent en procédures juridiques pour une personne non Suisse et de plus radicalisée. Je sais que nous somme dans un état de droit, mais sa coûtera encore plus cher quand il y aura des attentats avec des vies perdues. Faut y penser et éviter de parler de probabilité de réinsertion avec ce type de personne.
Très juste
Jugement logique
scandale
Oh, la cour des droits de l'homme va imposer à la Suisse de reprendre cette bonne femme comme elle le fait toujours avec les criminels. La Suisse n'est plus maître chez elle.
@Ben voyons
T'en sais rien mais tu bave!
Ou va t'on
Non il a raison la Suisse a plus un mots à dire c'est les juges de l'EU dictateurs qui imposent leurs lois et cela est que le commencement ou alors mettre dehors nos têtes pensantes avant que cela dégénère à la solde de cette mascara de l'EU
A répéter..
Et le Barberousse biennois, on va pas bientôt le mettre "au frigo"? Propagande pour Daesh, salafiste dangeureux, pro-lapidation des femmes clairement dit devant les Médias, que fait-il encore en liberté ? Apparemment, le Ministère public de la Confédération est sur ses talons. Et dire qu'il voulait un port d'armes... Encore merci à la Police bernoise de lui avoir refusé.
Bye
Bravo, je vote pour une expulsion à vie. Jetez ça dehors.
@Paul
Tout à fait d accord !
Effet d'annonce
Il lui suffit de venir à Genève ou en France voisine c'est pareil , ou la population de fichés est grandissante et où ils ne risquent rien
Faut prendre des gants
Radicalisée au protestantisme ou au bouddhisme? On n'est pas naifs.